Antonin Crenn

J’ai vingt-huit ans et je vis à Paris depuis que je suis grand. Il paraît qu’à Paris, il y a plus de cafards que de gens : mais des hérétiques, il n’y en a pas deux. Je suis ravi d’avoir fait sa connaissance ! J’aime les villes en général et la mienne en particulier : aussi, j’ai trouvé une manière formidable de gagner ma vie : j’informe ceux qui le veulent bien sur l’actualité des jardins parisiens. Les chenilles, les hérissons, les corneilles : je ne suis pas à plaindre. Et comme je ne sais pas perdre mon temps, j’en profite pour apprendre des mots : savez-vous que la passerage des décombres est une plante rudérale ? (c’est le titre de ma nouvelle qu’on lira dans Le Cafard hérétique #8).
Ces deux dernières années, on a publié de mes nouvelles dans La Femelle du requin, Rue Saint-Ambroise, Squeeze, L'Ampoule, La Piscine. J'y parlais, dans l'ordre : de silos à ciment, de tapisseries, de découpage administratif, de colonnes antiques et de désirs inavoués. Plus généralement, j’aime écrire sur les châteaux forts, les ponts de chemin de fer, l’amour, et toutes les choses qui mettent plus de mille ans à disparaître. On peut en lire sur mon blog :


Antonin a été repéré par la revue Brèves, qui parle de lui dans don dernier numéro (109, novembre 2016) :

À noter aussi que d'autres projets sont d'ores et déjà prévus sou la houlette de Lunatique, du très bon et, on y travaille, du très beau. 


Commentaires