Entrée en fanfare dans Le Cafard hérétique n°18 pour Yvan Robberechts qui étale sa poésie sur une vingtaine de pages, pas moins ! On ne le dira jamais assez : quand on aime, on ne compte pas.
Entrée en fanfare dans Le Cafard hérétique n°18 pour Yvan Robberechts qui étale sa poésie sur une vingtaine de pages, pas moins ! On ne le dira jamais assez : quand on aime, on ne compte pas.
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